Le collagène Verisol, un nouvel allié anti-âge pour ma peau
Présent dans notre corps en grandes quantités, étudié depuis les années 1900, le collagène n’en finit pas de nous vouloir du bien. Mais quels sont ses bienfaits au juste ? Voyons cela ensemble.
Sommaire :
Le collagène, qu’est-ce que c’est ?
Représentant environ 40% des protéines de notre organisme, c’est-à-dire les composantes essentielles de toutes les cellules de notre corps, le collagène est la protéine la plus présente dans le corps humain, jouant un rôle primordial dans de nombreuses structures de notre anatomie.
Dérivant du mot grec « kolla », qui veut dire colle, le collagène s’occupe de tout ce qui est cohésion, résistance et élasticité des tissus, notamment au niveau de la peau, des ligaments, des muscles et autres tissus conjonctifs.
Il sert à quoi, le collagène ?
Il existe plus de 28 types de collagène qui, de façon plus ou moins spécialisée, vont intervenir dans le remplacement et la restauration des cellules mortes de la peau. Il intervient même dans le processus de cicatrisation des blessures et de réparation des os dans les cas de fracture, c’est dire l’importance qu’il a pour nous, dans l’ombre.
Le problème, c’est qu’il a été démontré qu’en vieillissant, la teneur en collagène dans notre corps diminue, entraînant de facto une perte de la fermeté de la peau et l’apparition de rides.
Ce processus est complexe et fait intervenir quantité de mots aussi incompréhensibles qu’imprononçables. On retiendra donc ici qu’avec le temps, les cellules chargées de sa « fabrication », de sa synthèse comme disent les scientifiques, produisent de moins en moins de collagène naturel.
D’où l’idée d’un apport externe de collagène, pour ralentir au maximum la naissance rarement fêtée des rides et ridules, freiner le relâchement de la peau et éviter les douleurs articulaires.
Il est important de savoir que la baisse du niveau d’œstrogène (une hormone féminine) s’accompagne d’une baisse de production de collagène.
On en déduit facilement que lors de la ménopause, les ovaires, en ralentissant la cadence de production d’œstrogènes, impactent fatalement le niveau de collagène dans le corps, accélérant de fait le vieillissement et la sécheresse de la peau.
En dehors de l’âge, d’autres facteurs interviennent-ils dans la baisse de production de collagène ?
Il est connu qu’une carence en vitamine C peut entraîner une diminution de la production de collagène, de même qu’une exposition aux rayons UV. Le tabac, le stress, une alimentation déséquilibrée ou un goût immodéré pour le sucre participent également à la dégradation de la production de collagène dans notre corps.
Maintenant que les bases sont révisées, voyons comment prendre du collagène et lequel.
Faire une cure de collagène
Au regard de ce qui vient d’être vu, faire une cure de collagène peut s’avérer bénéfique pour rendre à la peau son élasticité et au derme sa fermeté. On y aura recours également pour retrouver un certain confort articulaire ou pour prévenir tendinites et autres désagréments pouvant survenir lors de la pratique d’exercices physiques intensifs.
Le collagène Verisol, un nouvel allié bien-être et anti-âge
Verisol collagène est un type spécifique de supplément en collagène, aux propriétés anti-âge tout à fait remarquables. Dérivé de collagène bovin, le collagène Verisol est conçu pour être facilement absorbé par l’organisme, pour des résultats visibles rapidement.
Produit par l’Institut Biovancia, proposé en crème ou en gélules « Neo-Collagen », le Verisol ne reçoit que des éloges et pour vous faire votre opinion, Verisol avis se fait le porte-parole non seulement des tests produits, mais aussi des retours de ceux et celles qui utilisent Verisol collagène.
Le collagène en complément alimentaire
On trouve dans le commerce du collagène sous différents formats : en poudre à diluer, en gélules, en sticks, etc. Optez pour celui qui vous va le mieux. Dans le cas de collagène à boire, demandez à goûter avant de vous lancer dans une cure : le goût peut être rédhibitoire pour certains. Sachez aussi que le collagène peut être issu du bœuf, du porc, des écailles et arêtes des poissons, avec une efficacité variable.
Et dernier point un peu technique à connaitre, les protéines de collagène sont plutôt grosses (tout est relatif), assez toutefois pour ne pas pouvoir être assimilées par notre organisme. L’astuce consiste donc à les fractionner par hydrolyse en particules appelées « peptides ».
Qu’on se rassure, pas question de transformer sa cuisine en labo : les fabricants de compléments alimentaires savent très bien le faire, vous n’aurez qu’à vérifier sur l’emballage la mention « collagène hydrolysé » ou « hydrolyse ».
Certaines cures proposent des combos intéressants, comme collagène + vitamine C, collagène + vitamine E ou collagène + acide hyaluronique, une molécule déjà présente dans notre corps dont la fonction est de faciliter l’assimilation du collagène.
Quelle est la posologie d’une cure de collagène ?
Comme pour le sport, une cure de collagène s’inscrit sur le long terme, soit de 5 à 10 g des fameux peptides par jour, sur une durée minimum d’un mois, idéalement de trois. On renouvellera 1 à 2 fois l’an. Plus on avance en âge, plus la cure s’allongera dans le temps, pour laisser au stock de collagène le temps de se reconstituer.
Notez que si vous êtes allergique aux poissons, crustacés, œufs ou protéines animales, vous éviterez la prise de collagène. De même, si vous souffrez d’insuffisance rénale, oubliez l’idée d’une cure de collagène.
Et pour finir, gardez en tête que le collagène est efficace dès 30 ans, autant pour les hommes que pour les femmes.